La consigne : d’initiatives isolées à une industrialisation du procédé ?

La consigne : d'initiatives isolées à une industrialisation du procédé ?

Si la consigne était une pratique courante dans les années 1960, elle s’est démodée pendant les Trente Glorieuses et l’apogée du plastique. Aujourd’hui en France, c’est seulement 10% de la production de bouteilles en verre qui est consignée. Et nous ne parlons pas des autres matières éligibles à la consigne comme le plastique, l’aluminium et même les briques en carton.

Aujourd’hui, le contexte sociétal et la montée en puissance des actions environnementales placent la problématique de gestion des emballages et des contenants au cœur du monde de la grande distribution. De plus en plus d’initiatives locales voient le jour, menées par des acteurs indépendants ou des collaborations entre start-ups et enseignes, à l’instar de Carrefour et Loop.

A l’échelle de la grande distribution, nous pensons que l’industrialisation du processus de consigne implique de réfléchir à plusieurs impacts sur l’ensemble de la chaine d’approvisionnement, parmi lesquels :  

Ces éléments sont une première marche dans l’industrialisation du procédé de consigne à l’échelle d’un distributeur. Aussi, la massification de la pratique pourrait résulter en l’élaboration d’une stratégie multi-enseignes.

Avec des expériences reconnues dans les problématiques d’optimisation logistique et notamment en reverse, Findle serait ravi de vous accompagner dans une réflexion plus poussée sur la mise en place de processus de consigne.

SixtineSixtine
1 mars 2022